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NEGAR, Newsletter 5 août 2023Tandis que Rina Amiri , envoyée spéciale des Etats Unis prétend renouer le dialogue avec les talibans au nom de certaines femmes afghanes qui le lui auraient demandé (ce que celles ci récusent totalement et accusent Amiri de prêcher pour certaines femmes afghanes résidant en Amérique et soucieuses de préserver leurs avoirs afghans), les talibans lui renvoient une cinglante fin de non recevoir : طالبان «مانع تحصیل دختران بالای ۱۰ سال» در برخی ولایتها شده است - BBC News فارسیsources d'images,Getty Images Une école primaire pour filles à Jalalabad 13 août 1402 - 4 août 2023 Des rapports provenant de certaines provinces d'Afghanistan indiquent que les responsables locaux du gouvernement taliban conseillent aux établissements d'enseignement et aux écoles de ne pas autoriser les filles de plus de 10 ans à fréquenter les classes du primaire. Des sources ont déclaré à la BBC que dans la province de Ghazni, les responsables du ministère de l'Éducation ont déclaré aux directeurs d'écoles et de classes de formation de courte durée que "les filles de plus de 10 ans ne sont pas autorisées à étudier dans les écoles primaires". En outre, des sources d'organisations d'aide non gouvernementales dans le domaine de l'éducation, sous couvert d'anonymat, ont déclaré à la BBC que de telles recommandations et ordonnances ont également atteint les classes d'alphabétisation. Dans certaines provinces, il a été dit que les autorités locales du ministère du Bien et de l'Interdiction du Mal ont séparé les filles en fonction de leur âge et ont demandé aux directeurs des écoles de filles de renvoyer chez elles les élèves au-delà de la troisième année. "On nous a dit que les filles qui sont grandes et âgées de plus de 10 ans ne sont pas autorisées à entrer dans l'école", a déclaré à la BBC un élève de sixième dans l'est de l'Afghanistan
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Un groupe de manifestantes afghanes a critiqué la décision de l'envoyée américaine Rina Amiri de s'engager directement avec les talibans, affirmant qu'elle risquait d'officialiser l'apartheid sexuel et le terrorisme.
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Après les négociations entre les États-Unis et les talibans à Doha, Rina Amiri, l'envoyée spéciale des États-Unis pour les femmes, les filles et les droits de l'homme afghans, a révélé qu'elle avait engagé des pourparlers avec les talibans en réponse aux "fortes demandes des citoyens afghans et des droits de l'homme". défenseurs des droits ». Ses déclarations ont suscité diverses réactions de la part des militants des droits humains, des mouvements de protestation des femmes et des citoyens afghans. Les militants de la société civile et les groupes de défense des droits de l'homme ont critiqué les remarques d'Amiri comme étant ambiguës, trompeuses, honteuses et contraires aux exigences du peuple afghan.
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Par Lynne O'Donnell, chroniqueuse à Foreign Policy et journaliste et auteur australienne.
Au Turkménistan, les robinets des ménages se tarissent et les criquets dévorent les récoltes. Au Kazakhstan, l'état d'urgence a été déclaré alors que la mer Caspienne se réduit à une flaque d'eau. En Ouzbékistan, la fin d'un boycott international du travail des esclaves a stimulé la demande de coton, une culture assoiffée qui draine la mer d'Aral. Les talibans creusent un canal pour détourner l'eau de l'Amu Darya, la frontière fluviale de cinq États d'Asie centrale desséchés. L'Afghanistan et l'Iran ont échangé des tirs meurtriers contre le partage transfrontalier de l'eau. Certains experts craignent que les premiers coups de feu des «guerres de l'eau» annoncées depuis longtemps n'aient déjà été tirés.
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Bien qu'il ait publiquement affirmé accueillir favorablement l'aide internationale, le gouvernement taliban a exercé une influence croissante sur les opérations humanitaires en Afghanistan aux niveaux national et local. Il s'agit notamment d'interdire aux femmes de travailler pour les ONG et les Nations Unies et, plus récemment, d'ordonner au Ministère de l'éducation de confier tous les projets éducatifs financés par la communauté internationale.
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Cela fait deux ans que les États-Unis ont retiré leurs troupes d'Afghanistan et cédé le pouvoir sur le terrain aux talibans. Pourtant, le contrôle des talibans sur le pays reste fragile, et si son administration venait à se dissoudre, il y a un danger que l'Afghanistan devienne un État défaillant de seigneurs de guerre ennemis et un creuset pour le terrorisme. La communauté internationale fait peu pour soutenir une éventuelle opposition au régime taliban, ce qui devrait maintenant devenir une priorité urgente.
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Au début de juillet 2023, le Front de résistance nationale d'Afghanistan a été le fer de lance d'une succession d'entreprises militaires audacieuses qui ont retenti dans les provinces de Kapisa, Kaboul, Baghlan, Nuristan, Laghman, Badakhshan et Nangarhar. La campagne dynamique de la NRF a montré sa détermination inébranlable, sa vision stratégique sophistiquée et son engagement indéfectible à sauvegarder les valeurs humanitaires, même dans les climats les plus durs de la guerre.
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Michael McCaul, président de la commission des affaires étrangères de la Chambre des représentants des États-Unis, a critiqué la manière dont le président Joe Biden a géré le retrait de l'Afghanistan. Il a qualifié le retrait d'"erreur aux proportions épiques" et a accusé l'administration Biden de ne pas avoir mis en place de plan d'urgence.
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Le département d'État a déclaré que les diplomates discuteront des questions humanitaires, des "intérêts critiques" avec les responsables du groupe afghan.
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Brisbane, Australie
CNN
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La mi-temps et des milliers de minuscules lumières de téléphones portables se balancent au rythme de "A Sky Full of Stars" de Coldplay lors d'une douce nuit d'hiver au stade de Brisbane pour le match de Coupe du monde de l'Australie contre le Nigeria.
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L'idéologie religieuse ultra-conservatrice et radicale des talibans, basée sur leur propre interprétation dure de l'islam, a largement défini la vision du monde, le comportement et les objectifs politiques du groupe. Bien que l'identité religieuse du groupe reste plus importante, les composantes tribales du groupe, qui influencent, c'est-à-dire les structures de pouvoir, ont reçu peu d'attention. Les talibans affirment que l'idéologie religieuse et la théologie politique du groupe englobent les non-Pachtounes, mais la faible présence de ces derniers dans les hautes sphères talibanes reste plutôt symbolique que décisive.
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BP 10 - 25770 FRANOISsite web : www.negar-afghanwomen.org
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