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Le 25 octobre 2022 au Sénat, remise du prix de la délégation aux droits des femmes du Sénat à Shoukria Haidar
par les sénatrices Annick Billon, Michelle Meunier et Laurence Cohen
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Se référant aux recherches du professeur Karima Bennoune de l'Université de Californie à Davis, Barr a exhorté l'Union européenne à utiliser le terme « apartheid de genre » lorsqu'il parle de la situation des femmes en Afghanistan car il permet une réponse appropriée à un tel État d'apartheid.
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Des ex-détenues ont évoqué des actes de torture et les mauvais traitements infligés aussi à leurs familles.
Les femmes ont déclaré avoir été détenues à tort avec leurs familles, y compris des enfants en bas âge. Elles ont subi des menaces, des passages à tabac et des conditions d’enfermement dangereuses ; leurs droits à une procédure régulière n’ont pas été respectés et elles ont enduré des conditions abusives de remise en liberté, parmi d’autres exactions. Les autorités ont agressé leurs proches de sexe masculin qui étaient aussi détenus, et dont certains ont subi des chocs électriques. La description par ces femmes de ce qu’elles ont vécu met en lumière le traitement de manifestantes détenues par les talibans, et les efforts déployés par ceux-ci pour réduire au silence le mouvement de protestation.
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Ce qui suit est la déclaration prononcée par Zahra Nader, rédactrice en chef du Zan Times lors du débat ouvert du Conseil de sécurité des Nations Unies sur les femmes, la paix et la sécurité le 20 octobre 2022
“Aujourd'hui, on estime à 20 millions le nombre de femmes et de filles qui ont grandi en Afghanistan en allant à l'école, au travail, qui ont grandi en pouvant aller où bon leur semble et dire ce qu'elles pensent, sont, sous les talibans, privées de ces droits humains fondamentaux parce que de leur sexe.”
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La direction du vice et de la vertu de la province de Kandahar a ordonné aux commerçants vendant des vêtements et des accessoires pour femmes de refuser l'entrée aux femmes faisant leurs courses sans mahram.
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[VIDÉO] ▶️ La pauvreté devient extrême en Afghanistan. La situation est tellement critique que de nombreux habitants sont contraints de vendre leurs enfants pour survivre, quand d'autres monnaient leurs organes. L'envoyée spéciale de TF1 Liseron Boudoul s'est rendue auprès de ces familles plongées dans un désespoir absolu. · International : REPORTAGE - “Mon père m'a mariée pour 2000 euros” : la tragédie des enfants vendus en Afghanistan.
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L'effondrement de l'économie a conduit des familles à travers l'Afghanistan à prendre des décisions désespérées, y compris, pour certaines, donner de jeunes filles en mariage en échange d'une dot. Pour mieux comprendre cela, Ali Mohammad Sabawoon de l'AAN a cherché à interviewer les pères des jeunes mariées. Il a identifié une douzaine de ces hommes, mais la plupart se sentaient trop honteux et pleins de remords pour en parler. Les quatre hommes qui ont pris la parole ont décrit les pressions qui avaient conduit à leur décision, une pression qu'ils n'auraient jamais imaginé devoir subir, et les troubles émotionnels qui l'ont accompagnée. Malheureusement, pour les quatre hommes, la décision difficile de marier leurs filles n'a pas fini par résoudre leurs problèmes (avec la contribution de Kate Clark).
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Le journal Le Monde a publié et authentifié des vidéos d'exécutions sommaires perpétrées par des talibans, dans la vallée du Panchir. Les faits se seraient déroulés le mois dernier dans cette vallée rebelle.
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Les membres du corps d’élite des commandos de l’armée nationale afghane, qui ont été abandonnés par les États-Unis et leurs alliés occidentaux lorsque le pays est tombé aux mains des talibans l’année dernière, disent qu’ils sont contactés avec des offres de rejoindre l’armée russe pour combattre en Ukraine. Plusieurs sources militaires et de sécurité afghanes affirment que la force d’infanterie légère entraînée par les États-Unis, qui a combattu aux côtés des forces spéciales américaines et alliées pendant près de 20 ans, pourrait faire la différence dont la Russie a besoin sur le champ de bataille ukrainien.
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Etats-Unis/Afghanistan - Islamabad et Doha à la manœuvre de la rencontre entre la CIA et les Talibans.
Selon nos informations, la rencontre du 8 octobre à Doha entre le directeur adjoint de la CIA, David Cohen, et le patron des services de renseignement des Talibans, Abdul Haq Watheq, a notamment été facilitée par le directeur de l’ Inter-Services Intelligence (ISI) pakistanais, Nadeem Ahmad Anjum (IO du 27/09/22). Et ce avec l'appui du conseiller à la sécurité nationale du Qatar, Mohammed bin Ahmed al-Misnad (IO du 15/04/22). Ces discussions ont été l'occasion pour le second de William Burns de souligner le manque de respect des Talibans envers leur engagement à contenir les actions de groupes djihadistes, à l'instar d’ Al-Qaeda ou de l’ Etat islamique au Khorasan (EI-K). Le maître-espion taliban a pour sa part insisté sur les difficultés auxquelles son régime, à l'armée et aux services de sécurité naissants, doit faire face. ETATS-UNIS/PAKISTAN : L'ISI renoue avec la CIA sous la houlette du chef des armées Qamar Javed Bajwa - 27/09/2022 - Intelligence Online
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Dans une interview au Hasht-e Subh Daily, des sources publiques affirment que les talibans ont abattu 22 prisonniers de guerre qui étaient membres du Front de résistance nationale dans la province de Badakhshan. Selon des sources publiques, dont ces 22 prisonniers, 40 membres du Front de résistance nationale ont été abattus par les militants talibans dans la province du Badakhshan. le Hasht-e Subh Daily a accès aux photos des corps de certains de ces morts, comme le montrent ces images, les talibans ont tiré dans les yeux de ces membres du National Resistance Front.
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Anisa Shaheed : une voix pour le peuple afghan
En reconnaissance du journalisme incisif et opportun qu'elle a mené au cours de sa carrière, Shaheed est l'une des lauréates du prix international de journalisme ICFJ Knight de cette année . “Je voulais être partout où il y avait un problème, et donner cette voix et cette nouvelle aux gens”, a-t-elle déclaré à propos de son reportage. “C'était mon souhait, et je l'ai fait.”
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Sur le front contre les talibans, nous avons vu de nombreux mouvements formels. Des fronts militaires se sont constitués, des mouvements et groupes opposés aux talibans ont proclamé leur existence, de nombreux statuts et déclarations ont été publiés, des manifestations et des conférences ont eu lieu et de nombreux débats ont eu lieu pour dénoncer la situation actuelle ; Cependant, il n'y a pas encore eu de changement politique qui indique un changement qualitatif dans l'approche des politiciens aux problèmes du pays.
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Au moins 3,9 millions d’enfants afghans souffrent de malnutrition aiguë alors que 19,7 millions de personnes, soit près de la moitié de la population afghane, sont confrontées depuis le début de l’année à une faim aiguë, a annoncé mercredi le Programme alimentaire mondial de l’ONU (PAM). |
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Les talibans collaborent étroitement avec la Chine en raison de leurs relations avec le Pakistan. La Chine aide aujourd’hui les talibans dans de nombreux domaines, notamment la sécurité, le renseignement et les télécommunications. Les talibans sont prêts à signer tout contrat avec la Chine qui profite aux intérêts de leur groupe et sont prêts à permettre à de nombreux pays d’utiliser le sol afghan pour menacer les intérêts et la sécurité des autres.
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Reuters : Le Pakistan retiré de la liste « grise » de Global Watchdog pour le financement du terrorisme
« Le Pakistan a été retiré d'une liste grise internationale qui justifie une surveillance accrue du financement du terrorisme, a déclaré vendredi le chef du GAFI ( Groupe d'Action Financière (GAFI) - FATF). La décision, qui donne un coup de pouce à la réputation de la nation sud-asiatique en crise, a été prise à la fin d'une réunion de deux jours à Paris, a déclaré le président du Financial Action Task Force (FATF), T Raja Kumar, lors d'une conférence de presse. « Après beaucoup de travail de la part des autorités pakistanaises qui ont élaboré deux plans d'action distincts et ont achevé un ensemble de 34 points d'action pour remédier aux lacunes de leurs systèmes de lutte contre le blanchiment d'argent et de financement du terrorisme », a déclaré le président du FATF, T Raja Kumar, lors d'une conférence de presse à Paris Lors d'une réunion en juin, le GAFI avait déclaré qu'il gardait le Pakistan sur la soi-disant “liste grise”, mais a déclaré qu'il pourrait être supprimé après une visite sur place pour vérifier les progrès. Kumar a déclaré qu'une équipe du GAFI s'était rendue au Pakistan et qu'elle était satisfaite de la mise en œuvre du programme. « Le Pakistan qui sort de la liste grise du GAFI est une justification de nos efforts déterminés et soutenus au fil des ans », a déclaré le Premier ministre Shehbaz Sharif sur Twitter. Le Pakistan a été inscrit en 2018 en raison de “déficits stratégiques liées au financement du terrorisme”. Même si le pays a été retiré de la liste, « il y a du travail à faire », a déclaré Raja, ajoutant que le GAFI a encouragé le Pakistan à renforcer ses mécanismes de surveillance. »
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L'Afghanistan se révèle dans tout ce qu'il a de plus lumineux et raffiné dans cette exposition du Musée Guimet. Quels seront ses secrets ?
Et si nous abordions, une fois n’est pas coutume, l’Afghanistan, non pas à travers ses terribles conflits, mais à la lumière de ses innombrables trésors antiques ? Situé autrefois au carrefour des routes de la soie, ce pays enclavé par les montagnes n’a semble-t-il pas encore révélé tous ses secrets… et rares sont les expositions à s’y être attardées.
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